IFRIS
IFRIS Institut Francilien Recherche, Innovation et Société
L’Institut Francilien Recherche Innovation et Société (IFRIS) a été créé en avril 2007. Il rassemble plus de 120 chercheurs travaillant dans le domaine « Sciences, Techniques et Sociétés ». Les membres de l’IFRIS couvrent une large gamme de disciplines en Sciences Humaines et Sociales (sociologie, gestion, histoire, économie et science politique). Ils sont rattachés à l’un des huit groupes de recherche associés à l’IFRIS. La création de l’IFRIS a été soutenue par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. L’IFRIS a pour ambition de devenir un pôle de recherche et d’enseignement de référence au niveau européen. Le cœur du consortium est localisé à l’Université Paris-Est Marne la Vallée au sein du Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur « Université Paris-Est ». L’IFRIS est un projet stratégique de l’Université Paris-Est. Activités L’IFRIS a pour vocation la recherche et l’enseignement dans trois domaines liés au champ « Sciences, Techniques et Sociétés » : - les études des sciences et des techniques - les études de l’innovation et des politiques scientifiques - les études de l’enseignement supérieurRecherche Les recherches de l’IFRIS sont centrées sur l’analyse des rôles et les modalités de production des savoirs dans l’action collective, publique ou politique. Les savoirs ne désignent pas seulement les connaissances scientifiques, mais aussi les connaissances techniques et les savoirs pratiques, les formes de raisonnement ainsi que les objets et dispositifs techniques. Les recherches donnent une large place aux analyse comparatives et elles associent généralement approches qualitatives et quantitatives. L’IFRIS revendique une grande diversité de postures d’analyse. Il souhaite encourager différentes façons d’aborder ces questions :
- Analyses menées à différentes échelles spatiales et temporelles et question de l’articulation entre les échelles ;
- Analyses allant de postures critiques à la recherche action. D’où l’importance accordée à la confrontation des diverses sciences sociales, et entre sciences sociales et sciences de la nature. D’où également la nécessité d’un regard réflexif sur les différentes formes de contribution des sciences sociales à l’action ;
- l’innovation « responsable »
- la transformation des régimes et institutions de savoirs
- le gouvernement du système terre
- la construction des futurs